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Max Ernst - As d'amour. Flamme |
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Jacqueline Lamba - Baudelaire Génie d'Amour. Flamme |
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André Masson - Novalis. Mage d'Amour. Flamme |
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André Masson - La Religieuse portugaise. Sirène d'Amour. Flamme |
Si vous étiez le géranium en pot sur la fenêtre, voudriez vous avoir plus de fleurs? plus de feuilles? Attends poulet, laisse-moi réfléchir!
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Max Ernst - As d'amour. Flamme |
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Jacqueline Lamba - Baudelaire Génie d'Amour. Flamme |
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André Masson - Novalis. Mage d'Amour. Flamme |
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André Masson - La Religieuse portugaise. Sirène d'Amour. Flamme |
Nicolas, citoyen de la ville de Patras, était né de parents riches et pieux. Son père s’appelait Epiphane, sa mère Jeanne. Ses parents, après l’avoir enfanté dans la fleur de leur âge, s’abstinrent ensuite de tout contact charnel. Le jour même de sa naissance, Nicolas, comme on le baignait, se dressa et se tint debout; et, durant toute son enfance il ne prenait le sein que deux fois par semaine, le mercredi et le vendredi. Dans sa jeunesse, évitant les plaisirs lascifs de ses compagnons, il fréquentait les églises, et retenait dans sa mémoire tous les passages des Saintes Ecritures qu’il y entendait.
(C'est très bien, mon petit Nicolas !)
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Icone de Saint-Nicolas Liban - 14ème siècle |
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Un beau texte à chanter |
Tout lui est égal. Chaque matin, il voiture, d’un petit pas sec et dru de fonctionnaire, le facteur Jacquot qui distribue aux villages les commissions faites en ville, les épices, le pain, la viande de boucherie, quelques journaux, une lettre.
Cette tournée finie, Jacquot et l’âne travaillent pour leur compte. La voiture sert de charrette. Ils vont ensemble à la vigne, au bois, aux pommes de terre. Ils ramènent tantôt des légumes, tantôt des balais verts, ça ou autre chose, selon le jour.
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Vincent van Gogh - Charrette à âne - 1881 |
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édition originale Flammarion de 1896 Jules Renard et Félix Vallotton |
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Bois de Félix Vallotton |
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Je suis un pêcheur à la ligne. Quelquefois je ferre un brochet, quelquefois une vieille chaussure. Jean Anouilh - Ornifle ou le Courant d'air |
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Champion !!! |
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Cagayous "le plus grand voyou d'Alger" |
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Alger - Bab-El-Oued - Stéphane Couturier |
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Une pièce de 2 livres éditée par le Royal Mint à l'occasion de la disparition de Georges Orwell, 1903-1950, il y a 75 ans. |
Pollution fécale du littoral français |
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Pacific Palisades - Los Angeles Lotissements pour milliardaires (partis en fumée) |
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Malibu La colline La route : Pacific coast highway Les maisons sur la plage (parties en fumée) Le Pacifique |
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Fernando Rey et sa bigotelle chez Buñuel |
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Kaiser Mustache Trainer Avant Pendant Après |
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Albert Finney, Hercule Poirot usant de la bigotelle Le Crime de l'Orient-Express (1974) de Sidney Lumet |
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Dans mon souvenir, elle ressemblait bien à ça |
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Le passage à niveau de Peyrouton |
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La halte de Narrosse |
La gare de Hinx |
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Gare de Gamarde-les-Bains |
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La gare de Montfort en Chalosse |
Un soir de 1944, dans un bar d’officier en Angleterre, Bernard Citroën (le fils aîné d’André), qui était alors pilote dans la Royal Air Force, eut le malheur de citer une contrepèterie que son interlocuteur –un commandant anglais– ne parvint pas à décrypter. Vexé, furieux, l’Anglais «se lança dans un grand discours, me disant que chaque langue avait son génie, que l’anglais avait le génie du limerick, qu’un ancien élève d’Oxford ou de Cambridge se croirait déshonoré si au cours de son existence il ne pondait pas cinq ou six nouveaux limericks. Très excité par ses propres paroles, il déclara soudain qu’il défiait le meilleur écrivain ou poète de mon pays d’écrire en français un limerick acceptable.» Le lieutenant Citroën relève le défi . L’enjeu du pari est un double whisky. Il le gagne avec un (et un seul) limerick, intitulé : «La belle Charlotte»
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Roland Topor - Le lapin - 1975 |
Félix Fénéon - Nouvelles en trois lignes, 1906
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Paul Signac - Opus 217. Sur l'émail d'un fond rythmique de mesures et d'angles, de tons et de teintes, Portrait de M. Félix Fénéon en 1890 Moma |
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Carte du voyage de Nicolas Bouvier dans L'Usage du monde |
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Paris saucisse |
Emile Zola ― Opera omnia (Toute l’œuvre) (Décrets des 19 septembre 1884, 25 janvier 1895, 27 août 1896, 1° septembre 1898).
Emile Zola (1840-1902). Fils d'un ingénieur italien, né à Paris. Il entra en 1864 à la maison Hachette et prenant comme modèles Musset, Flaubert et Taine, il s'essaya à écrire et ne tarda pas à devenir le plus célèbre des romanciers naturalistes. Ses œuvres sont tellement ignobles que ses admirateurs eux-mêmes et des critiques fort peu moralisateurs ont exprimé en termes énergiques leur écœurement. Il n'est pas superflu de citer quelques témoignages. En voici :
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Emile Zola songeur |
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L'abbé Bethléem lacérant des journaux licencieux à Paris à la fin des années 1920 |
Il faut être toujours ivre. Tout est là : c’est l’unique question. Pour ne pas sentir l’horrible fardeau du Temps qui brise vos épaules et vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve.
Mais de quoi ? De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous.
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L'ivrogne d'Ornans - Gustave Courbet -1872 (L'a-t-il pris au pied de la lettre ?) |
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Fernandel par Philippe Halsman |
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Le pied de cochon Félicie (tout fait ventre, tout fait vendre) |
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Robert et Marcel Proust en 1877 par Modeste Chambay |
Kaki - Denis Brihat |
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Tulipe - Denis Brihat |
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Denis Brihat - Les Poireaux de Villandry |
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Denis Brihat - Pin d'Irlande |