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| Nicolas II en 1915 - Boris Koustodiev |
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| Ioseb Besarionis Dze Jughashvili en 1943 |
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| Encravaté premier |
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| Washington |
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| Lincoln |
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| Encravaté second |
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| 7 清_佚名_《清太宗崇德皇帝朝服像》 |
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| Le grand timonier (il n'y a pas de quoi rire) |
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| Encravaté troisième |
Si vous étiez le géranium en pot sur la fenêtre, voudriez vous avoir plus de fleurs? plus de feuilles? Attends poulet, laisse-moi réfléchir!
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| Nicolas II en 1915 - Boris Koustodiev |
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| Ioseb Besarionis Dze Jughashvili en 1943 |
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| Encravaté premier |
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| Washington |
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| Lincoln |
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| Encravaté second |
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| 7 清_佚名_《清太宗崇德皇帝朝服像》 |
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| Le grand timonier (il n'y a pas de quoi rire) |
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| Encravaté troisième |
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| Verlaine par Dorlac |
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| Un trésor de bienfaits par Nover |
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| Vincent van Gogh , Nature morte à l'absinthe, 1887 |
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| L'absinthe est de nouveau autorisée en France depuis 2001 (Pour voir double... ou triple ?) |
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| Bienfaisante, qu'est-ce que je disais ! |
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| Mais il ne faut pas abuser non plus. (Un bon point pour le vin, le cidre, le poiré et la bière. Une mauvaise note, pour l'alcool de betteraves, de pommes de terre et de grain.) |
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| Sinon, ça vire au drame |

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Max Ernst - As d'amour. Flamme |
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| Jacqueline Lamba - Baudelaire Génie d'Amour. Flamme |
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| André Masson - Novalis. Mage d'Amour. Flamme |
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| André Masson - La Religieuse portugaise. Sirène d'Amour. Flamme |
Nicolas, citoyen de la ville de Patras, était né de parents riches et pieux. Son père s’appelait Epiphane, sa mère Jeanne. Ses parents, après l’avoir enfanté dans la fleur de leur âge, s’abstinrent ensuite de tout contact charnel. Le jour même de sa naissance, Nicolas, comme on le baignait, se dressa et se tint debout; et, durant toute son enfance il ne prenait le sein que deux fois par semaine, le mercredi et le vendredi. Dans sa jeunesse, évitant les plaisirs lascifs de ses compagnons, il fréquentait les églises, et retenait dans sa mémoire tous les passages des Saintes Ecritures qu’il y entendait.
(C'est très bien, mon petit Nicolas !)
| Icone de Saint-Nicolas Liban - 14ème siècle |
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| Un beau texte à chanter |
Tout lui est égal. Chaque matin, il voiture, d’un petit pas sec et dru de fonctionnaire, le facteur Jacquot qui distribue aux villages les commissions faites en ville, les épices, le pain, la viande de boucherie, quelques journaux, une lettre.
Cette tournée finie, Jacquot et l’âne travaillent pour leur compte. La voiture sert de charrette. Ils vont ensemble à la vigne, au bois, aux pommes de terre. Ils ramènent tantôt des légumes, tantôt des balais verts, ça ou autre chose, selon le jour.
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| Vincent van Gogh - Charrette à âne - 1881 |
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| édition originale Flammarion de 1896 Jules Renard et Félix Vallotton |
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| Bois de Félix Vallotton |
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| Je suis un pêcheur à la ligne. Quelquefois je ferre un brochet, quelquefois une vieille chaussure. Jean Anouilh - Ornifle ou le Courant d'air |
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| Champion !!! |
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| Cagayous "le plus grand voyou d'Alger" |
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| Alger - Bab-El-Oued - Stéphane Couturier |
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| Une pièce de 2 livres éditée par le Royal Mint à l'occasion de la disparition de Georges Orwell, 1903-1950, il y a 75 ans. |
| Pollution fécale du littoral français |
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| Pacific Palisades - Los Angeles Lotissements pour milliardaires (partis en fumée) |
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| Malibu La colline La route : Pacific coast highway Les maisons sur la plage (parties en fumée) Le Pacifique |
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| Fernando Rey et sa bigotelle chez Buñuel |
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| Kaiser Mustache Trainer Avant Pendant Après |
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| Albert Finney, Hercule Poirot usant de la bigotelle Le Crime de l'Orient-Express (1974) de Sidney Lumet |
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| Dans mon souvenir, elle ressemblait bien à ça |
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| Le passage à niveau de Peyrouton |
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| La halte de Narrosse |
| La gare de Hinx |
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| Gare de Gamarde-les-Bains |
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| La gare de Montfort en Chalosse |
Un soir de 1944, dans un bar d’officier en Angleterre, Bernard Citroën (le fils aîné d’André), qui était alors pilote dans la Royal Air Force, eut le malheur de citer une contrepèterie que son interlocuteur –un commandant anglais– ne parvint pas à décrypter. Vexé, furieux, l’Anglais «se lança dans un grand discours, me disant que chaque langue avait son génie, que l’anglais avait le génie du limerick, qu’un ancien élève d’Oxford ou de Cambridge se croirait déshonoré si au cours de son existence il ne pondait pas cinq ou six nouveaux limericks. Très excité par ses propres paroles, il déclara soudain qu’il défiait le meilleur écrivain ou poète de mon pays d’écrire en français un limerick acceptable.» Le lieutenant Citroën relève le défi . L’enjeu du pari est un double whisky. Il le gagne avec un (et un seul) limerick, intitulé : «La belle Charlotte»