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02 mars 2020

Olympe de Gouges

Olympe, je l'ai rencontrée pour la première fois à Labouheyre, attablé en terrasse au Café des Sports, levant les yeux de mon demi, lisant son nom sur le frontispice  de l'école de filles voisine, puis à Montauban même, une attachante belle ville soit dit en passant ...
Quand l'Equipe de Perpignan s'en va jouer à Montauban,
Elle est battue évidemment par l'équipe de Montauban.
Et quand l'équipe de Montauban s'en va jouer à Perpignan,
Elle est battue c'est évident par l'équipe de Perpignan.


[j'étais persuadé de l'avoir entendue de la bouche d'Henri Génès, né à Tarbes, cette chanson, mais non, je ne l'ai pas trouvé dans sa discographie,   il s'agit des Frères Jacques]

... où elle est née comme plus tard, le sculpteur Bourdelle et le peintre Ingres.
Olympe, pionnière du féminisme, rate depuis plusieurs années son examen d'entrée au Panthéon. Rien de grave, elle pourra tenter de le repasser, elle a toute la vie devant elle.

Olympe de Gouges 1748-1793

    Quand j'étais petit, je ne me rendais compte de rien mais étant devenu moyen puis grand, j'ai pu prendre conscience et me réjouir de l'avancée des droits des femmes. Je pensais que les femmes qui sont si belles et sont si bonnes allaient nous proposer une alternative, un mode de vie bien à elles et qu'elles allaient nous délivrer des matamores, des va-t-en guerre, des déglingués, des chtarbés,  des pue du bec, des va de la gueule,  des clones en gris souris, des pervers, des sournois , des larbins, des laquais, des beni-oui-oui, des chefaillons,  des kapos à la petite semaine, des collabos dans l'âme, des trous du cul  mondains,  des pousse-toi de là que je m'y mette, des acharnés de la possession matérielle, des obsédés du pouvoir, des messieurs muscle, des qui ont le cerveau dans la culotte, des communicants, des chantres de la parole creuse, des bonimenteurs, des têtes de gondole,   en un mot comme en cent,  des costumes croisés, des uniformes, des gourous, des prêcheurs, des fondus des soutanes, des kippas et autres turbans, de la bêtise, de la guerre... Las !

...  En son temps, j'ai eu mon premier frisson,  rien de grave pourtant, mais  j'ai du prendre un bain de siège quand j'ai appris que Madame Rica Zayzay partait faire son Service militaire, toute seule comme une grande. Puis j'ai attrapé un psoriasis  à force de voir à la télé Madame Tatechair (à canon) et sa vaporeuse Permanente,  (une vraie tête à laque), développé un prurit anal à la vue de Madame Mam (qui s'en souvient ?) et ses pantalons à plis cassés, fait un œdème de Quincke quand  Madame Seigneurial  sapée comme Bécassine, c'est ma cousine agitait à la fenêtre de petits drapeaux nationaux et puis et puis, et puis même, même Mme Simone Veille, qui elle a obtenu son strapontin au Panthéon, Simone qui me semblait pourtant remplir  toutes les conditions pour que je l'admirasse,  que j'ai vu une fois dans un docu à elle consacré, à table avec sa petite famille très zaizée,  servie par un vieux nègre à l'ancienne, gants blancs, dos voûté et tète basse, comme dans la case de l'oncle Tom, m'a valu un urticaire géant qui me courrait sur tout le corps et alors et alors le ressort s'est cassé . Il ne m'en faut pas beaucoup, je le reconnais, mais voilà que j'ai recommencé à douter à nouveau  du genre humain, mâles et femelles.
    Et ce n'est pas Madame Narcos et ses petits souliers,  Mme Rachic et ses piécettes jaunes, Mme Ceoucetrou et son gentil mari qui vont m'amener à la raison.
    Et je ne parle même pas des actuelles Narine Le Bic, Nadine Medrano, Acacahuéte Dita, Isabellepastantqueça Karpaty, Cécile Petitnavire, Légume Pélerin, (ces quelques lignes ne sont pas récentes , je ne me rappelle plus trop de qui je veux parler) cela ne me fait plus rien, étant totalement immunisé.
    Un espoir ? Les lesbiennes, les Lgbtp peut-être alors ? C'est  l'avenir.  On verra, mais pour l'instant, je n'arrive pas bien à distinguer et pour ce que j'en connais, il y en a pas un, il n'y en a pas une, pour rattraper l'autre.


Allez, je me console avec Nefertiti parce que c'est la plus belle après Olympe, mais je ne suis pas sûr qu'elle valut bien cher, celle-là non plus. et puis c'est son  meilleur profil où elle a un air très doux parce que de face avec son bicorne elle fait plutôt vieux tromblon et grosse méchantasse.

15 mars 2016

De l'art en barthes

Où peut-on trouver, à demeure, des œuvres de  Jean-Pierre Raynaud - Andreu Alfaro - Françoise Lacampagne - Likichi Takikawa - Jorge Santos - James Metcalf - Jean-Pierre Pourtier - Otto Fried - Cristina Iglesias - Niki de Saint Phalle - Andy Goldworthy - Eugène Dodeigne - Mark di Suvero - Jaume Plensa - Antoine Poncet - Zigor - Fernand Léger - Anthony Caro - Matta - Etienne Martin - Zao Wou-Ki - Jorge Oteiza - Eduardo Chillida - Antoine Bourdelle - Juan Bordes - Alexander Calder - Heidi Melano - Auguste Rodin - Aristide Maillol - Titus Lucretius Carus - Joan Miró - Isamu Noguchi - Agustin Cárdenas - Federica Matta - Jean-Michel Sanejouand, à l'air libre, dans une zone de barthes, en zone inondable ? 

Otto Fried - L'esprit de la forêt-1995

Fernand Léger - Composition abstraite ca.1952

Eduardo Chillida - Mural III. 1999

Niki de Saint Phalle - Nana - 1967

Antoine Bourdelle - Grande baigneuse,1909

Titus Lucretius Carus - L'arbre


Où ? sur la rive opposée de cette maison sur l'Adour, ♫ Chez nous, dans les Landes (chanson identitaire) .