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31 janvier 2024

Les belles familles

 Louis I

Louis II

Louis III

Louis IV

Louis V

Louis VI

Louis VII

Louis VIII

Louis IX

Louis X (dit le Hutin)

Louis XI

Louis XII

Louis XIII

Louis XIV

Louis XV

Louis XVI

Louis XVII

Louis XVIII

et plus personne plus rien...

qu'est-ce que c'est que ces gens-là

qui ne sont pas foutus

de compter jusqu'à vingt ?

Jacques Prévert 

Collage - Jacques Prévert

06 juillet 2023

Choses vues

Le Titanube à Nantes

Le puits chez Jean-François Millet,
 hameau de Gruchy,  Gréville-Hague

Le voisin de Jacques Prévert
 à Omonville la Petite

Le tonneau - Cotentin

"Il fault... 
- Boire son saoul quand le tonneau est plein,
- Et tout autant quand il vient au declin."

Le manteau de cheminée à Nantes

"Les très petites personnes oublient quelquefois qu’elles n’ont plus d’ailes et essaient de s’envoler par la fenêtre ou par la cheminée." J.M. Barrie

Du haut de Lefèvre-Utile à Nantes

27 février 2019

Art postal

Mark Question à Lettice Meyer

Jean Lescure à Raymond Queneau

Jacques Prévert à Albert Mermont

Wolinski à Stéphane Proust 

Question Mark (?) à Mrs Walker

Mark Question à Lettice Meyer (on y revient)

Un art en voie de disparition.
( ─  toujours négatif ! et les émoticônes dans les mails, ça ne remplace pas largement ces petits dessins ?
  ─ 😠💣💣💣)

13 avril 2017

Le temps des ceris(i)e(r)s

🎼 Quand nous chanterons le temps des cerises,
Et gai rossignol, et merle moqueur
Seront tous en fête !
Les belles auront la folie en tête
Et les amoureux, du soleil au cœur !
Quand nous chanterons le temps des cerises,
Sifflera bien mieux le merle moqueur !

A brûle-pourpoint : de qui Le temps des cerises ? j'aurais répondu Prévert ! fatal error ! Le Communard  Jean Baptiste Clément a écrit cette chanson en 1866 et  Antoine Renard en a composé la musique en 1868 (pour remettre à l'heure mon horloge interne).
Par contre, Prévert a écrit l'anti-militariste Le temps des noyaux.

Vallis clausa

Vau-cluso

Vaucluse - Vallée close


et puis aussi, le temps des gainiers siliquastres (un nom qui fait un peu peur), plus connus sous le nom d'arbres de Judée


La très belle Glanum, près de Saint Rémy de Provence, dans les Alpilles, une cité antique, gauloise, grecque, romaine... 

31 mars 2009

Le cerisier au rouge-gorge


Pedro Uhart Le cerisier au rouge-gorge

La vie est une cerise
La mort est un noyau
L'amour un cerisier.


Jacques Prévert

23 décembre 2007

Le silence de la mer

Edouard Boubat , un correspondant de la paix (Prévert)
Nazaré - Portugal 1956

Pendant la Seconde Guerre mondiale, un homme qui vit avec sa nièce se voit imposer l’hébergement d’un officier allemand, Werner von Ebrennac. Francophile, courtois et cultivé, il vient les saluer chaque soir, et se heurte à leur silence. Cette réserve ne le désarme pas: «Je suis heureux, leur dit-il, d’avoir trouvé ici un vieil homme digne. Et une demoiselle silencieuse.» En affrontant quotidiennement leur mutisme, il réussit à faire naître chez l’oncle une estime mêlée de sympathie, et, chez sa nièce, un sentiment proche de l’amour. Un séjour dans le Paris de l’Occupation ouvre pourtant les yeux du jeune Allemand sur les objectifs et la mentalité de ses compatriotes: leur bassesse, leur mépris, leur désir de domination. Conscient cependant que son devoir lui prescrit de lutter aux côtés de son peuple, il demande à rejoindre une division sur le front de l’Est. Quand il vient prendre congé de ses hôtes et leur explique les raisons de son départ, la jeune fille sort pour la première fois de son silence et murmure «Adieu».

LE SILENCE DE LA MER. Roman de Vercors, pseudonyme de Jean Bruller (1902-1991), publié à Paris aux Éditions de Minuit en 1942.

Jean-Pierre de Beaumarchais, Daniel Couty. "Dictionnaire des oeuvres littéraires de langue française." © Bordas, Paris 1994

12 novembre 2007

Autumn leaves

Lierre

Robinier faux acacia

Chêne d'Amérique

Les feuilles mortes se ramassent à la pelle
Les souvenirs et les regrets aussi
Et le vent du Nord les emporte
Dans la nuit froide de l'oubli
Tu vois je n'ai pas oublié
La chanson que tu me chantais

C'est une chanson, qui nous ressemble
Toi tu m'aimais, et je t'aimais
Et nous vivions, tous deux ensemble
Toi qui m'aimais, moi qui t'aimais

(pourquoi aller chercher midi à quatorze heures)