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28 mai 2025

Nadar






Autoportrait en douze poses
Félix Nadar, 1861- 1867
Étude pour une photosculpture
Épreuve sur papier salé d’après un négatif sur verre au collodion, 15,7 × 13,8 cm
© Bibliothèque nationale de France


L'atelier de Nadar à Paris, vers 1861, au 35 Boulevard des Capucines
(on reconnait encore de nos jours le bâtiment qui a été surélevé)

13 mars 2025

Sur Paris

Un amas confus de maisons
Des crottes dans toutes les rues
Ponts, églises, palais, prisons
Boutiques bien ou mal pourvues

Force gens noirs, blancs, roux, grisons
Des prudes, des filles perdues,
Des meurtres et des trahisons
Des gens de plume aux mains crochues

Maint poudré qui n'a pas d'argent
Maint filou qui craint le sergent
Maint fanfaron qui toujours tremble,

Un beau texte à chanter

Pages, laquais, voleurs de nuit,
Carrosses, chevaux et grand bruit
Voilà Paris que vous en semble ?

1610 - 1660

06 mai 2024

Félicie aussi

C'est dans un coin du bois d'Boulogne
Que j'ai rencontré Félicie
Elle arrivait de la Bourgogne
Et moi j'arrivai en Taxi
Je trouvai vite une occasion
D'engager la conversation
...

Fernandel par Philippe Halsman
 ...
Afin d'séduire la petite chatte
Je l'emmenai dîner chez Chartier
Comme elle est fine et délicate
Elle prit un pied d'cochon grillé
Et pendant qu'elle mangeait le sien
J'lui fis du pied avec le mien
...

Le pied de cochon Félicie
(tout fait ventre, tout fait vendre)

                                                        ♫
L'Aramon lui tournant la tête
Elle murmura " quand tu voudras "
Alors j'emmenai ma conquête
Dans un hôtel tout près de là
C'était l’hôtel d'Abyssinie
Et du Calvados réuni
...
                                                       

Félicie aussi

André Kertész, Restaurant Chartier, Quartier Latin,
 Paris, 1934

04 mars 2014

Lustucru ?

TABOU  [ta-bou] s. m.
Espèce d'interdiction prononcée sur un lieu, un objet ou une personne par les prêtres ou les chefs en Polynésie. 
Se dit adjectivement des personnes ou des choses soumises au tabou. Cela est tabou.

L'ami Émile 

Devant le Tabou -  Robert Doisneau - 1947

On reconnaît Michel Simon, Juliette Gréco, Boris Vian (avant son alopécie) au volant, Jean Marais, Edith Piaf et Marcel Mouloudji.

19 juin 2013

16 juin 2013

Le porche épique

Je me verrais bien pigiste à l'Almanach Vermot, pour arrondir mes fins de mois. 
Si, si, avec du travail, je crois que j'y arriverais, ce n'est qu'une question de volonté.


Le malin, le kapo et le damné


La pesée des âmes


C'est le petit train mais en vertical
(si je devais participer à un petit train,  je choisirais toujours la position de queue) 


Peut-être une position du Kamasutra pour coprophiles


Pchiùùù !!! rentrons vite à l'étable avec le bœuf, l'âne, 
Marie dans ses beaux habits et Jésus en babygros .
(Fais pas ton Joseph ! )



La Descente du Saint-Esprit  (ouf)
Heures d'Étienne Chevalier, enluminées par Jean Fouquet
(On reconnait au loin Notre-Dame de Paris)

14 juin 2013

Tu me la sors bonne

Mais pourquoi, pourquoi, aux heures (nombreuses) où je m'abandonne à la réflexion, n'affleurent pas à mon esprit pensées philosophiques telles que " Comment peut-on apprendre à se connaître soi-même ? Par la méditation, jamais, mais bien par l’action."Gandhi - tel que je l'ai lu dans le métro (réclame pour la Fête de la philosophie du 25 mai au 17 juin 2013) ou bien " La philosophie empêche la bêtise d’être aussi grande qu’elle serait s’il n’y avait pas de philosophie, c’est sa splendeur"Gilles Deleuze - mais bien des réminiscences de l'ère primaire (Cp, Cm) :  "Tu me la sors bonne" ou bien : Connais-tu cette maladie nommée pécole ? non ? 
Eh bien , c'est la peau du cul qui se décolle ! 
Serais-je victime d'une forme bénigne du syndrome de la Tourette ?


Michel de Montaigne à la Sorbonne
Dire :  Salut Montaigne en lui touchant la godasse : succès aux examens assuré


Juliette à Vérone
Lui caresser le sein droit :  vous gagnerez bonheur, amour éternel et fertilité


A Valldemossa, île de Majorque, où il a résidé un temps avec George Sand, je me suis précipité pour faire la bise, voyant son nez poli, au pauvre Frédéric Chopin, par pure amitié, sans savoir ce que cela pourrait me rapporter en termes de chance, succès, bonheur... Il en a fermé les yeux de plaisir et d'abandon.

Pense-bête : 
la prochaine fois, aller tripoter le sexe de Victor Noir au Père Lachaise

10 juin 2013

Larmes d’Albâtre


Les pleurants du tombeau de Jean sans Peur sont partis de Dijon répandre leurs larmes de 2010 à 2012 à New York, Saint Louis, Dallas, Minneapolis, Los Angeles, San Francisco, Williamstown, à Hôpital Saint-Jean à Bruges, au Bode Museum à Berlin puis de retour en France, à Paris au Musée de Cluny à compter du 27 février 2013.
Pas la peine de sortir son mouchoir, l'exposition s'est terminée le 3 juin.
Les Pleurants sont repartis à Dijon (sniff).


L'un des 39 pleurants du cortège


L'un des 39 pleurants du cortège
(c'est celui du haut)


L'un des 39 pleurants du cortège


L'un des 39 pleurants du cortège

L'on pourrait voir dans l' attitude ci-dessus un pleurant essuyant ses pleurs ou bien un pleurant se mouchant dans ses doigts (moins probable). Notre ami médiéviste (on l'appelle le Pastoureau landais) Jean M. nous trace une troisième voie; il estime qu'il y a là comme souvent chez les créateurs lors de travaux de commande, volonté délibérée d'envoyer un message déviant. Jean de La Huerta ou Antoine Le Moiturier (on ne sait pas lequel des deux) aurait laissé  le spectateur devant une interprétation à triple tranchant et dont l'adresse cachée au gisant ( les pleurants sont à l'origine en soubassement du tombeau et non pas détachés comme ici ) serait : 
Ouah, Jean sans Terre, qu'est-ce que tu pues ! (enfer et putréfaction) 
(Mon pauvre Jean ! je m'adresse au médiéviste)

En parlant d'odeur, tandis que nous montions les marches du Petit Palais (Aux marches du palais, Aux marches du palais, Y a une tant belle fille lonla, Y a une tant belle fille... - Guy Béart), et que nous suivions un couple bien mis, entre septante et octante, je détectai que l'élément masculin de ce couple, tout en gravité, émettait un couinement mou à chaque marche gravie.  
Toujours bienveillant, j'imputais à quelque semelle à coussin d'air crevé cette série de sons incongrus. De sournoises effluves eurent vite fait de me ramener à la réalité.
Parvenu au haut de l'escalier, je me précipitai vers un vigile (ils sont légion dans Paris)  en lui désignant le coupable du doigt afin qu'il soit vertement admonesté. Cet agent de sécurité qui devait avoir fait un peu de Droit me signifia qu'il ne pouvait donner suite à ma requête car je n'étais pas en mesure d'apporter les preuves de ce que j'avançais.
Du vent ! (des vents ?). Et la parole d'un honnête citoyen prompt à redresser les torts et à dénoncer toutes sortes d'incivilités, alors, on s'y assoit dessus ? 

06 juin 2013

Chantons sous la pluie

♫ I'm singin' in the rain
Just singin' in the rain
What a glorious feelin'
I'm happy again.


Empruntons la passerelle (!) Simone de Beauvoir 
après visite aux Globes de Coronelli à la BNF


et retrouvons les Parapluies de Cherbourg à la Cinémathèque
Exposition Jacques Demy du Du 10 avril au 4 août 2013

[ Passant sous la pluie de Stanley Donen et Gene Kelly à Jacques Demy]

03 juin 2013

Paris secret

Toujours rajouter secret, adjectif bien dans l'air du temps en ces périodes où négationnistes et complotistes font florès.


Heurtoir au coq - Île de la Cité


Mais il lévite ! Affirmatif ! J'ai pu le constater de visu.


Hôtel des abeilles (sauvages) au Jardin des Plantes


Squat, rue de Rivoli je crois mais en 2003.


(Sous) Le pont Mirabeau... (le reste coule de source...) 

22 juillet 2012

La caissière du Grand Café


Leonetto Cappiello pour Waterman (détail)

Charmante histoire d'amour : Louis, appelons-le Louis, comme ses parents,  est amoureux de la caissière du Grand Café. Timide, il n'ose déclarer sa flamme. Il finit par coucher sa déclaration sur papier. Il s'approche de la caissière, sa missive torchée à la main : elle lui montre la direction des ouatères.


                                                      - 2 -
                                                      Entourée d'un tas de verres à pied
                                                      Bien tranquille devant son encrier
                                                      Elle est dans la caisse, la caissière
                                                      Ça fait qu'on n'en voit que la moitié
                                                      Et moi que déjà je l'aime tant
                                                      J'dis: Tant mieux qu'on cache le restant
                                                      Car si je la voyais tout entière
                                                      J'deviendrais fou complètement.
                                                      

                                                      Au refrain :

                                                      Elle est belle, elle est mi(meu)gnonne
                                                      C'est une bien jolie personne...


La caissiere du Grand Café - Louis Bousquet - Louis Izoird - 1914

Une jolie version par Gaston Ouvrard, (Bergerac, 1890 - Caussade, 1981) dernier comique-troupier (connu surtout pour : Je ne suis pas bien portant : J'ai la rate qui se dilate, J'ai le foie qu'est pas droit, J'ai le ventre qui se rentre J'ai le pylore qui se colore J'ai le gésier anémié... Ah! Bon Dieu! que c'est embêtant d'être toujours patraque...) ici. Les paroles là.

– Ah ! voici Mlle Thévenin qui promène en triomphe, dans toutes les rues, sa cousine de Paris. Elle n’a pas besoin de le dire, que cette dame Quériot vient de Paris : beaucoup de seins, les pieds petits, et des chevilles trop fragiles pour le poids du corps ; deux ou trois chaînes de cou, les cheveux très bien coiffés… Il ne m’en faut pas tant pour savoir que cette dame Quériot est caissière dans un grand café. Une caissière parisienne ne pare que sa tête et son buste, le reste ne voit guère le jour. En outre, elle ne marche pas assez et engraisse de l’estomac. Tu verras beaucoup, à Paris, ce modèle de femme-tronc.

Sido - 1930 - Colette

Amour toujours

René Vincent pour Porto Ramos (détail)

04 juillet 2012

Défense du lucane


Lucane mâle (Lucanus cervus), en position d'intimidation à Orist

En fait c'était une dame, une femme lucane, au vol si particulier et qui ne passe pas inaperçu. Le lucane, on l'appelle aussi cerf-volant, c'est dire.
Sortant du restaurant, (Le Local au Cassourat, très bien) nous dirigeant vers les festivités de Satire à Dax [satyre à Dax, ça tire à Dax (pas plus qu'ailleurs, ce me semble)] nous l'avons rencontrée au Jardin public, elle nous a accompagné ensuite le long de la cathédrale puis a traversé avec nous la rue Saint-Pierre, a batifolé sur le bâtiment de la Banque de France avant, la malheureuse, de faire un piqué sur la rue (Cazade) où elle a rasé de trop près un attelage familial, maman et poussette, enfants petits, mari ? mari précoce ? non,   plutôt cousin chaperon, 15,16,17 ans ou plus ? Le cousin, le biceps magnifié par un ticheurte moulant à manche courte, a capturé la bête devant nous et a commencé à l'écraser dans ses grosses pattes.
Pourquoi tu le tues cet insecte ? (je n'ai pas employé lucane, il aurait pris ça pour une insulte) lui ai-je dit. Me regardant vilain, il s'est alors fait un plaisir de jeter la bête dans le caniveau pour lui sauter dessus avec allégresse. Ça a fait crouicccc... crrrrouiic... tandis que je le traitais de con et qu'il me répondait : c'est ma vie ! (elle est belle, il faut la prendre comme telle, chante Chuck Berry)
Cest vrai, je l'ai tutoyé, je l'ai provoqué. Son forfait accompli, ma dame lucane écrabouillée, le cousin s'est tourné vers moi. Il a dû un instant envisager le coup de boule, nos fronts se touchaient presque. Sûr que si je l'avais pris, j'écrirais encore maintenant d'une plume nasillarde. Au final, il s'est résolu pour une tèque de dissuasion, que j'ai pris entre l'oreille et le pariétal gauche (il reste de la place ?)
Que faire, en renvoyer une, me prendre une bonne rouste ensuite, le cousin étant d'attaque, aller aux urgences, à la police et dire quoi ? que j'avais voulu défendre un lucane? me faire rire au nez cassé et lire dans la rubrique faits-divers du lendemain :
Rixe pour un lucane dans une rue de Dax.
ou par un de ces retournements dont l'époque a le secret:
Rue Cazade : un détraqué attaque dans la rue une paisible famille.
J'ai laissé tombé et j'ai même pas honte.

Couteau alvéolé à  jambon lame acier inox

La dernière fois que j'ai eu envie de sortir mon couteau à jambon serrano, (pourquoi un couteau à serrano ? pour faire des tranches fines, très fines, en belle chiffonnade et que ça dure longtemps, longtemps...) c'est à Paris, rue Vicq d'Azir. Fin d'après-midi, je fume en marchant (un tort à Paris que de fumer dans la rue, vous ne faites pas trois pas sans qu'on vous tape). Une voix polie me demande de l'arrière une cigarette. Je sors mon paquet, me retourne et vois mon locuteur, 13, 14 ans, caïd auto-promu de trois ou quatre zozos dans les douze ans il me semble. J'arrête mon geste, range mon paquet en disant à l'intéressé qu'il est est trop jeune. Regards mauvais de chez mauvais, instant de silence, certainement le temps de supputer l'envoi ou non de quelques coups de pied dans les glaouis (les miens, s'entend). La troupe finit par s'éloigner doucement en m'envoyant les compliments d'usage : tu n'es qu'une pédale, un enculé, monsieur, un bâtard, un bouffon de ta race...
Le lendemain, j'ai demandé aux collègues de Paris et du 9 quelque chose si ce genre de situation arrivait souvent. On n'y fait pas attention, me dirent-ils en chœur, en plus si tu leur a fait la morale!
Ah bon.

Ya pas de quoi rire !

25 mars 2010

Flambée montalbanaise

Oyez la mélodie Le fond du soir Un café Écoutez, c'est le blues Du coin le Gus y joue Du biniou Comm' fait Bach Pour une chanson, Pucelle aux ailes déployées, Rame, langue Albatros, Pique et trame au papier Le cap et la falaise, balèze ! J'écoutais montalbanaise Une envolée de braises, Noyé, je m'eau de vie-gueur Viseur au coeur, liqueur soeur, A cloche-pieds, cigarette, Une bouffée volée, yé, Au vent de la postérité. Allez vas-y va, Chaloupe ta mélopée Ma chanson de café, Charlie passe Parker, Et l'Gus au biniou Souffle aussi Comme Black au sax. Si le be -bop à valser Devait sceller vos nuits, Blues et Polka piquée Temps,Tu nous réconcilies
M'entends-tu d'accordéon ?


Monteille c’était tout petit Le paradis d'été Sambapathie, dada plouc On ramait bal d'amour flou; Mais un souffle est dévoilé Une poussée bleue, d'envie, M'accroche au cœur, thank you Viseur. Et ceux, les "griff' le temps" Ont mis les doigts de cordes, Apaches et Django Mississipi Didi guitare aussi m'a dit Et Paris loue, Paris prie, Le tango bord de Marne, Chavire la valsouze Intemporelle et blues Goutte à goutte ces divines My lady valsées, Filles et femmes tam-tam Au fil du temps Funambules et modernité, (Comme) on jette à l'eau du calme Un caillou ricochet, Par ondes d'ondes là Passe-passe l'écho Des papis d'au-delà du top. Réveillez la mélodie, la chanson des cafés, Vocalise la bob French, Scat et valsez one more, D'oc, Comme un souffle dévoilé, Une poussée bleue d'envie, 
 
Accroche au cœur, thank you Viseur

Les paroles et l'interprétation d'André Minvielle sur la musique de Gus Viseur - 1915 Lessines Belgique -1974 Paris / Gustave "Tatave" Viseur à écouter sur le CD Paris Musette (1990) Label La Lichère



Douce joie • La valse à margaux • Passion • Flambée montalbanaise • Afro-musette • Amargura • Adios Sevilla • Annie-Zette • Mélodie au Crépuscule • Valse Chinoise • Poker d’as • Accordéon • La vraie valse musette • Mazurka tzigane • Rêve Bohémien • A Matelo • La foule • Paciencia! • Viva Muréna • Panique • A Paris dans chaque faubourg • Envolée Musette • Depuis que les bals ont fermé.       

20 février 2010

Des hauts et des bas



Quand je lis une carte, je me vois toujours tourné vers le nord, vers Paris; on "monte" à Paris. Un(e) lillois(e) monte t-il (t'elle) à Paris ? Et pourquoi ne me tournerais-je pas vers Tamanrasset ?
Le mystère reste entier.
Le géographe  qui a créé la carte ci-dessus, lui, a tranché.

09 mai 2009

Pins perdus


A droite, deux pins* perdus chez Ivry Bétons

[*Je dis pins perdus mais c'était peut-être des sapinettes ou des mélèzes blaise. J'ai eu du mal à les approcher, enfermés qu'ils étaient comme à Guantanamo. Je voyais bien à leur attitude qu'ils me demandaient de les ramener dans le sud-ouest. Ils tendaient misérablement leurs petites aiguilles vers moi et j'entendais des cris mais leurs mots étaient couverts par les bruits du périphérique. Je ne suis pas assistante sociale; après tout, vaut mieux eux que moi; qu'ils se démerdent. Je suis reparti dans les Landes comme si de rien n'était.]

Mai, mai, mai, Paris mai, mai, mai, mai, Paris
Mai, Paris (et banlieue)

Paris mai
Claude Nougaro

14 décembre 2008

Sur canapé

Pedro Uhart Canapé tango

Pedro Uhart Le canapé rouge

Pedro Uhart Le canapé de Pablo Neruda

Albert Cossery, Pedro Uhart, Régine Canaux

Un tableau qui retient l'oeil, un bon coup de gougueul et qui trouve t-on à côté de l'artiste, Pedro Uhart ? Albert Cossery, (le monde est pety).

Albert Cossery
, Le Caire, 3 novembre 1913 - Paris, 22 juin 2008, lu il y a longtemps, relu il y a un an après cadeau de Nina (Oeuvres complètes en deux volumes, édition Joëlle Losfeld) Mendiants et orgueilleux; Les Fainéants dans la vallée fertile; Les Hommes oubliés de Dieu; Un complot de saltimbanques; La maison de la mort certaine...
Albert Cossery
a vécu à Paris à l'hôtel La Louisiane de 1945 à 2002, chambre 58 puis chambre 77 de 2002 jusqu'à sa mort à 94 ans.

Pedro Uhart
, artiste chilien de père basque, né le 11 septembre 1938 à Concepción. Il anime également un beau site consacré à Antoni Gaudí i Cornet: gaudidesigner.com