Djeha-Hodja Nasreddin décida un jour de devenir vendeur de pois chiches grillés. Il acheta, à un ancien marchand de pois chiches, un âne et les outils nécessaires à ce commerce. Comme l'âne était habitué à ce négoce, chaque fois qu'il passait devant une maison de clients potentiels, il se mettait à braire. Djeha-Hodja Nasreddin ne pouvait ouvrir la bouche pour crier "marchand de pois chiiiiiiiches", sans que l'âne ne se mette à braire. Arrivé à la place du marché, prêt à crier "marchand de pois chiiiiiiiches..", il fut devancé par l'âne qui avait commencé à braire. Il se tourna vers lui et lui dit : Qui est en train de vendre les pois chiches ? Toi ou moi ?
[ça me fait penser que je devrais relire Mèmed le Mince (İnce Memed, 1955, trad.1975), Mèmed le Faucon et lire Le retour de Mèmed le Mince et Le dernier combat de Mèmed le Mince de Yachar Kemal, (turc Yaşar Kemal)]
Au « grand 0 » de l'E.N.A.
RépondreSupprimer(Une simple question
au pied de votre arbre)
Toi ou moi ?
Harry Cow(-Cow)
Chiche ?
Bonjour,
RépondreSupprimerchouette ce blog ! J'aime beaucoup les illustrations mises en avant dans tous ces articles.
Chercheur et passeur d'arbres, je suis impressionné par le frêne découvert sur votre blog :
http://cocoduc.blogspot.com/2008/03/pays-basque.html
Comme je serais dans le pays Basque fin août, je me serais bien rendu au pied de cet ancêtre vénérable.
Pourriez-vous m'indiquer où il a décidé de planter ses racines ?
Merci d'avance
Monsieuye Am Lepiq
RépondreSupprimerÔ ami, c'est kif-kif bourricot.
Cher Krapo
RépondreSupprimerMes compliments en retour pour votre blog.
Après vérification, ma main avait dû fourcher à l'époque, il ne s'agit pas d'un frêne mais plus certainement d'un hêtre qui a du être têtardisé à un moment de sa vie, on aperçoit le bourrelet. (Massif du Baïgura, du village d'Ossés vers le sommet de l'Haltzamendi). Je rectifie illico.
Amicalement et arboricolement vôtre.