Climatología
Motivado por su situación geográfica en la parte media de la depresión del Valle del Ebro, la Bardena está sujeta a un clima mediterráneo continental, caracterizado por precipitaciones escasas, irregulares, torrenciales y de carácter equinoccial, con máximos en primavera y otoño. Todo ello supone una larga estación seca, veranos cálidos e inviernos bastante fríos.
Motivado por su situación geográfica en la parte media de la depresión del Valle del Ebro, la Bardena está sujeta a un clima mediterráneo continental, caracterizado por precipitaciones escasas, irregulares, torrenciales y de carácter equinoccial, con máximos en primavera y otoño. Todo ello supone una larga estación seca, veranos cálidos e inviernos bastante fríos.
Gros grain en ce ouiquende de la pente et côte mais rien en comparaison de la galère qu'a vécu Terry Gilliam lors du tournage du film inachevé The man who killed Don Quixote en 2000:
" Le deuxième jour, va pour la scène avec les figurants forçats !L'ennui, c'est qu'il fait plutôt gris. De plus en plus gris, même. Et frisquet. Nicola Pecorini, le chef opérateur, ne comprend pas comment la lumière évolue. Les nuages s'amoncellent à la vitesse de l'éclair. Un drôle de bruit se fait entendre. «Si ce n'est pas les F-16 ( il y a une zone militaire de tir aérien au centre des Bardenas), c'est le tonnerre !», plaisante Terry Gilliam. Il ne croit pas si bien dire : il a à peine fini de parler que des grêlons gros comme des balles de golf s'abattent sur l'équipe... On court aux abris. Des bourrasques soufflent. La tente de la cantine s'envole. Cette tempête est de courte durée mais quand la grêle a fini de tomber, tout le monde patauge dans la gadoue. Et les F-16 passent toujours. Le troisième jour, on se croirait en Ecosse. Une brume épaisse enveloppe le paysage, il y a de la boue partout. Il faut nettoyer le matériel. La journée est perdue. Le quatrième jour, le ciel reste gris et les F-16 sont toujours là. Johnny Depp et Jean Rochefort sont de retour sur le plateau - enfin, ce qu'il en reste. Avisés, ils ont sorti les parkas. C'est sûr qu'ils ne risquent pas de se réchauffer en jouant, Terry Gilliam ne sait plus quelle séquence tourner. Les problèmes de raccord sont insurmontables: sur tous les (rares) rushes, le soleil brille... "
Extrait Télécinéobs le 16/08/2007 ; Elodie Lepage
Making-of de L'Homme qui tua Don Quichotte de Keith Fulton et Louis Pepe.
" Le deuxième jour, va pour la scène avec les figurants forçats !L'ennui, c'est qu'il fait plutôt gris. De plus en plus gris, même. Et frisquet. Nicola Pecorini, le chef opérateur, ne comprend pas comment la lumière évolue. Les nuages s'amoncellent à la vitesse de l'éclair. Un drôle de bruit se fait entendre. «Si ce n'est pas les F-16 ( il y a une zone militaire de tir aérien au centre des Bardenas), c'est le tonnerre !», plaisante Terry Gilliam. Il ne croit pas si bien dire : il a à peine fini de parler que des grêlons gros comme des balles de golf s'abattent sur l'équipe... On court aux abris. Des bourrasques soufflent. La tente de la cantine s'envole. Cette tempête est de courte durée mais quand la grêle a fini de tomber, tout le monde patauge dans la gadoue. Et les F-16 passent toujours. Le troisième jour, on se croirait en Ecosse. Une brume épaisse enveloppe le paysage, il y a de la boue partout. Il faut nettoyer le matériel. La journée est perdue. Le quatrième jour, le ciel reste gris et les F-16 sont toujours là. Johnny Depp et Jean Rochefort sont de retour sur le plateau - enfin, ce qu'il en reste. Avisés, ils ont sorti les parkas. C'est sûr qu'ils ne risquent pas de se réchauffer en jouant, Terry Gilliam ne sait plus quelle séquence tourner. Les problèmes de raccord sont insurmontables: sur tous les (rares) rushes, le soleil brille... "
Extrait Télécinéobs le 16/08/2007 ; Elodie Lepage
Making-of de L'Homme qui tua Don Quichotte de Keith Fulton et Louis Pepe.