Une barre !
Deux barres !!
Trois barres !!!
Quatre barres !!!!
Mais jusqu'où iront-ils ! Assez, ça suffit !
Indignons-nous !
[Une chocolatine martyrisée, défigurée, qui n'a plus du pain au chocolat que le nom, la surcharge en barres chocolatées ayant fait s'écrouler tout le gonflant initial. ]
Le jour où je prends le pouvoir, je fixe aux boulangers-pâtissiers, enfin je veux dire, aux techniciens en auto-clave et gonfleurs patentés de pâtes levées ou feuilletées industrielles, un moratoire de trois ans durant lequel une réflexion sera menée sur les abus liés aux pains aux chocolats (oïl et oc-est) ou chocolatines (oc-ouest, Québec et New Brunswick ) et où le croissant sera seul autorisé.
Walking revolution |
Tous les matins il achetait
RépondreSupprimerSon p'tit pain au chocolat
la la la la
La boulangère lui souriait
Il ne la regardait pas
...
On ne peut pas chanter cela sans pencher la tête en convergeant rêveusement le regard.
Y'en a bien un qui finira par créer le croissant au chocolat!
RépondreSupprimer♫
RépondreSupprimerTous les matins il achetait
Sa chocolati, i, i, i, ne
La boulangère lui souriait
Il ne la...
mais non ça ne rime plus, un problème de parallélisme.
Merci Anonyme, votre réflexion m'a permis d'aller vérifier : c'est malheureusement déjà fait et au Québec, certains traduisent Chocolatine par "chocolate Croissant" ($2.50, vache!). Je vais donc être réduit à embaucher une armée de juristes pour ne pas que mon moratoire soit une vraie passoire...
RépondreSupprimerJe dis pain au chocolat, la langue d’oïl, ça me connait.
RépondreSupprimerTiens, je pensais qu'en Picardie, proche de la Flandre, on aurait employé couque au chocolat. On aurait fait ainsi le tour de la question.
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