comme un brin de paille dans l'étable.
Que crains-tu de la guêpe ivre de son vol fou ?
Paul Verlaine
Paul Verlaine
Berlin bombardé
[Souvent, je me dis, que nous, pauvres humains, malheureux cerveaux malades, gonades vibrionnantes, vulves délirantes, devrions faire contrition, la tête dans un trou, comme l'autruche, pour les siècles des siècles.]
Je vois que l'espoir vous met la joie au cœur.
RépondreSupprimerCouci-couça.
RépondreSupprimerCosì così.