je ne boirai pas de tonneaux de vin.
(rien que des barriques)
Mascaron aux dauphins, place du Panthéon Rome
Mascaron, fontaine du Panthéon Rome
Mascherone, Fontana di piazza della Rotonda
le vrai nom de la fontaine du Panthéon
le vrai nom de la fontaine du Panthéon
[L’intérêt de boire du vin en Italie, c'est que le bistroquet ou le restaurateur ne fait pas trois, quatre, cinq fois la culbute comme en France. Le vin en magasin à 10 euros, on le boit à 20 euros, quelque soit l'endroit, troquet de ruelle ou restaurant sur une belle Piazza, tranquillement installé à l'intérieur ou en terrasse, servis avec le sourire de l'ami qui vous fait partager une bonne bouteille.
En conclusion, en Italie, puis on boit, plus on fait d'économies]
En conclusion, en Italie, puis on boit, plus on fait d'économies]
J'ai bien l'impression qu'en suivant la route de ces "Mascaron", on ne puisse boire que de l'eau.
RépondreSupprimer« Le troisième jour, il y eut une noce à Cana de Galilée. La mère de Jésus était là. Jésus aussi fut invité à la noce ainsi que ses disciples. Le vin venant à manquer, la mère de Jésus lui dit « Ils n’ont pas de vin ». Jésus lui dit « Que me veux-tu, femme ? Mon heure n’est pas encore venue ». Sa mère dit aux serviteurs : « Faites ce qu’il vous dira ».
RépondreSupprimer« Or il y avait là six jarres de pierre, pour les purifications des Juifs, contenant chacune deux ou trois mesures. Jésus dit aux serviteurs : « Remplissez d’eau ces jarres ». Ils les remplirent jusqu’au bord. Il leur dit : « Puisez maintenant et portez-en au maître d’hôtel ». Ils lui en portèrent. Quand le maître d’hôtel eut goûté l’eau devenue du vin - il en ignorait la provenance, mais les serveurs la savaient, eux qui avait puisé l’eau - il appelle le marié et lui dit : « Tout le monde sert d’abord le bon vin et, quand les gens sont ivres, alors le moins bon ; toi, tu as gardé le bon vin jusqu’à présent ».
« Tel fut le commencement des signes de Jésus ; c’était à Cana de Galilée. Il manifesta sa gloire, et ses disciples crurent en lui ».
(Évangile selon Jean, 2,1-1