En 1970, j'étais, grand redoublant, en deuxième année à l'école privée d'Esthétique et Coiffure Ramonbordes à Capbreton, aujourd'hui disparue.
Pour payer mes études, je travaillais en saison, à la plonge, au Camping Sparben à Tosse, assidûment fréquenté par les nordiques.
J'ai fait là la connaissance de quatre suédois avec qui nous avons monté une petite formation. Nous assurions le soir l'animation musicale.
Larz Kristerz, le chanteur, qui a donné son nom au groupe (bien qu'il fût le moins bon de nous tous), avait un père dans le show-biz suédois, qui faisait ses quatre volontés. Du coup, on a pu sortir un 45 tours: Stuffparty 1, qui a connu un franc succès.
Pour payer mes études, je travaillais en saison, à la plonge, au Camping Sparben à Tosse, assidûment fréquenté par les nordiques.
J'ai fait là la connaissance de quatre suédois avec qui nous avons monté une petite formation. Nous assurions le soir l'animation musicale.
Larz Kristerz, le chanteur, qui a donné son nom au groupe (bien qu'il fût le moins bon de nous tous), avait un père dans le show-biz suédois, qui faisait ses quatre volontés. Du coup, on a pu sortir un 45 tours: Stuffparty 1, qui a connu un franc succès.
De haut en bas et de gauche à droite:
Magnus, Jesper, moi-même, Larz et Tobias.
Magnus, Jesper, moi-même, Larz et Tobias.
Nous avons renouvelé l'expérience l'année suivante avec Stuffparty 2 mais je dois à la vérité de reconnaître que ce second 45 tours n'était qu'une redite; il n'était pas aussi abouti, il n'avait pas cette fraîcheur, cette spontanéité qu'avait le premier.
La vie et ses obligations nous ont ensuite séparés mais après Stuffparty 2, j'étais déjà en désaccord avec l'orientation artistique que voulait impulser Larz. Ma sensibilité musicale, plutôt latine, n'était pas encore prête pour la pop suédoise.