À Pampelune, Pamplona, Iruña, Iruñea
[ Il est souvent arrivé que certains trouvent le chemin long pour arriver à Irun car pensant se diriger sur Irun, ils allaient à Iruña, (les panneaux sont en basque), autrement dit Pampelune (de Pompaelo, Pompée, qui lui aurait donné son nom) ]
Le Riau Riau et les Vísperas
Le café Iruna,
l'une des principales stations d'Ernest Hemingway à Pampelune
l'une des principales stations d'Ernest Hemingway à Pampelune
Avons remonté, le mollet fier [(bien que fatigué par une marche forçée la veille de six heures (merci de tout coeur Momo!) par des chemins de contrebande, en partant d' Arnéguy (près Venta Peio)] et le torse bombé tout l'Encierro, [ le trajet (825 mètres à Pampelune) des taureaux des corrales (enclos) aux arènes] avant de faire la génuflexion devant la statue (accoudée au comptoir) d'Ernest Hemingway, au café Iruna et de boire à sa santé un blanc verdejo de Rueda.
Ci-dessus à gauche, un Pampelunien/Pamplonés/Iruindar s'y étant pris à l'avance pour la San Fermín, (6 al 14 de julio) s'en tenant une bonne de bonne heure [(Pour qui sonne l'Anis Gras; (un cousin de l'Anís del Mono) Mort dans l'après-midi)] et qui nous a révélé qu'un marchand de churros de la rue d'à côté, un salopard de fasciste, nous a-t-il dit, me ressemblait comme deux gouttes d'eau (ça fait toujours plaisir) sauf que lui portait une casquette en cuir. Nous avons été vérifier mais le lâche ( En avoir ou pas ) avait fermé ses portes jusqu'à las cuatro de la tarde.
et aussi d'Ernest Hemingway :
Les fesses qui me démangent trop (rendu sonotone)
L'adieu aux larmes (Au revoir tristesse)
Le vieil homme et l'Amer (Picon de préférence) et :
Pampelune est une fête.
Et le lendemain matin, le glas sonnait sous le béret ?
RépondreSupprimerPeut-être pas le glas mais sûrement le tocsin, pour une tempête sous un crâne, Ô misèrable !
RépondreSupprimer