sur le chemin de Fontarrabie à Pasajes.
Modeste lichen
"Le mot "lichen" remonte à l'antiquité grecque; il fut pour la première fois appliqué à des végétaux au IVe siècle av JC, par le grec Théophraste, disciple d'Aristote. Ce mot signifiait "dartre" ou "croûte" (je le trouve si beau, ce mot lichen que l'on traduit aussi par lèpre, que j'ai été déçu par son étymologie mais comme quoi, les mots, on peut se les faire sonner comme on veut) et désignait alors des végétaux comprenant à la fois les lichens, les mousses et les hépatiques.
Cette confusion entre mousses et lichens persista jusqu'à la fin du XVIIe siècle. Linné lui-même, qui leur donna un début de classification, incluait les lichens dans les algues.
...Se sont penchés sur les lichens ensuite Tournefort, le suédois Acharius, le finlandais Nylander, le suisse Schwenderer et Gaston Bonnier notamment, qui réalise en 1889 la synthèse d'un lichen à partir d'une algue et d'un spore..."
Extrait du Guide des lichens de Pascale Tiévant chez delachaux et niestle.
Le lichen est attachant, il peut être:
corticole, lignicole, saxicole, terricole, lichénicole (faut pas se géner), acidophile, basidophile (mon préféré), calcicole, hygrophile, photophile (oui, c'est vrai), sciaphile, nitrophile (ni pas assez), chionophile (boay!), coniophile (iouy!), héliophile, ombrophile, amphibien, xérophile, poluotolérant (comme moi), poluophobe, thermophile [fin du défilé].
Le lichen est attachant, il peut être:
corticole, lignicole, saxicole, terricole, lichénicole (faut pas se géner), acidophile, basidophile (mon préféré), calcicole, hygrophile, photophile (oui, c'est vrai), sciaphile, nitrophile (ni pas assez), chionophile (boay!), coniophile (iouy!), héliophile, ombrophile, amphibien, xérophile, poluotolérant (comme moi), poluophobe, thermophile [fin du défilé].