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09 avril 2024

Votre bain est bientôt prêt

L'Océan atlantique par ici

    Il ne reste plus qu'à donner un petit coup de balai mécanique et tout sera en place pour le 15 juin, quand l'avant-garde du troupeau en maillot  pointera le bout de son nez.

    Penser en outre à éviter particulièrement le bassin d'Arcachon et le triangle d'or Biarritz, Anglet, Bayonne où,  en raison de la  surpopulation, de la surconstruction,  de la surfréquentation  touristique et des changements climatiques, vous pourrez vous retrouver après de fortes pluies provoquant la saturation des réseaux d'eaux usées et d'eaux pluviales, nageant la brasse (ou le crawl ou le papillon, à votre guise) dans une fosse septique. 


Porca miseria !

[Possibilité d'updater le transistor
vers un smartphone.]

C'est rien de le dire !

25 mars 2020

La Cigarette et l'Arèthuse


A l'été 1876, Robert Louis Stevenson entreprend avec son ami Walter Simpson un voyage à l'intérieur des terres, en canoe , écrit RLS,  en canoë, traduit l'un, en canot, traduit l'autre, plus certainement en périssoire, empruntant l'Escaut à Anvers puis le Rupel, le canal de Willebroek, la Sambre et l'Oise pour aboutir à Pontoise.
Ils pagaient à bord de deux périssoires : l'Aréthuse et la Cigarette.

L'itinéraire
Chez astrofella.wordpress.com






Pontoise : The End of the Voyage

RLS contera sa traversée dans An inland voyage, publié à Londres en 1878.
Les traducteurs français de cet ouvrage ont eu du mal bizarrement à s'accorder sur le titre. 
On trouve :
Voyage en canoë sur les rivières du Nord,
Voyage sur les canaux et les rivières,
A la pagaie, 
Canaux et rivière d'Anvers à Compiègne...
Croisière à l'intérieur des terres de Laurent Bury pour la Bibliothèque de la Pléiade, 2001, parait le plus pertinent mais pour ma part, j'aurais traduit simplement :
Voyage dans les terres ou à l'intérieur des terres.

Gustave Caillebotte - Les Périssoires - 1877
Milwaukee Art Museum

Deux ans plus tard, Robert Louis Stevenson changera de monture et parcourra les Cévennes avec l'ânesse Modestine. Sur ses pas, ici.

05 mai 2018

Printemps humide


Mésange au bain


Duo de grenouilles (à la coule)


Couple de mandarins au sortir du bain
 (monsieur a revêtu son plumage nuptial, madame est subjuguée)

Photos (trop belles) de Bénauït Gaü
[un temps de canard]

23 août 2016

Notre mer d'Aral

à nous




L'étang d'Abesse en été

Le journal Sud-Ouest : " L'étendue d'eau s'est brutalement vidée. Un marché public est lancé jusqu’au 5 septembre en vue des réparations.
L'étang saint-paulois d'Abesse s'est brutalement vidé au cours de la première semaine du mois d'août. Et personne, aujourd'hui encore, n'est en mesure d'expliquer précisément ce qui a pu se passer.
En huit jours, la retenue d'eau, destination très prisée des amoureux de balades en pleine nature, s'est transformée en une étendue de sable et de boue nauséabonde, où faune et flore suffoquent.
L'hypothèse retenue est celle d'un « renard », terme technique désignant une fente ou un trou dans un barrage, cet étang étant artificiel."

Mais où le journaleux prend-il ses sources ? il ne doit pas y aller souvent à Abesse. L'étang était déjà à sec en juillet et encore à sec l'été 2015.
Le mois dernier, j'ai parlé cinq minutes avec un riverain contemplant comme moi le désastre et pour lui l’assèchement venait tout simplement du fait qu'une exploitation agricole bien extensive pompait jusqu'à l'os les ruisseaux qui alimentent l'étang. 


L'Adour aussi perd ses eaux à Dax, peut-être un problème de bouchon de vidange.

Quand c'est flou, il y a un loup ! comme disent les politiques.

30 avril 2016

Hé oh du bateau !

Odilon Redon - La barque mystique 1890-1895

Le bateau matérialiste

Le signe du Zodiac

[Manque : le pédalo nucléaire.]

03 février 2014

Et les shadoks pompaient, pompaient, pompaient...


Et les shadoks pompaient, pompaient, pompaient...


Et les shadoks pompaient, pompaient, pompaient...


Et les shadoks pompaient, pompaient, pompaient...


Et les shadoks pompaient, pompaient, pompaient...

Et les shadoks ne font pas que pomper en zones inondables, de plus en plus nombreuses semble-t-il, (et pourquoi ?) à l'intérieur des terres, ils apportent en noria incessante, en bord de mer, dans leur lutte contre les éléments, des bennes de sable, des rochers pour consolider, des bouées pour endiguer, et cela pour protéger aberrations immobilières, aménagements touristiques coquets, ( la Terre, un terrain de jeu pour petits bonshommes ? ), infrastructures bitumineuses de nos génies civils...
C'est  la mer qui doit bien se marrer.

31 janvier 2014

L'Adour a crû

En direct live


Crète - Mare Monte **** à partir de 690 € TTC 
7 nuits en demi pension


Palmiers aux pieds dans l'eau
 Dax (de l'ablatif-locatif pluriel latin de Aquis : aux eaux)


Accès reservé

04 janvier 2014

Méditerranées


Le MuCEM et la mer - Marseille


Marseille - L'île d'If vue du MuCEM  


Le MuCEM et la Major - Marseille

Le MuCEM, musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée 
qui a ouvert le 7 juin 2013.

Sur l'appellation MuCEM, si on m'avait demandé ce que j'en pense, j'aurais fait sauter musée (musée ça finit par sonner poussière) et puis civilisations ( des civilisations ? toujours cette prétention des humains ! la lecture des premiers chapitres de "Sur les épaules de Darwin" de Jean-Claude Ameisen ((un cadeau,( pas Jean-Claude, le livre)) a fait se souvenir à l'ancien lecteur de Karl von Frisch (bzzz, bzzz, bzzz, les abeilles) que je suis, que des civilisations (qui nous survivront certainement) , il y a en a bien d'autres que l'humanoïde, les acariens par exemple, les abeilles donc, les fourmis  qui sont aussi avancées que nous, [avec agriculture, cueillette, chasse, armées, esclaves, tout ce qu'il faut, (elles n'ont toutefois pas encore découvert le Samsung Galaxy et les forfaits Orange )] mais elles sont bien moins perverses, bien moins sadiques, il n'y aurait pas à ce qu'il semble de fourmis schizophrènes, psychotiques ou psychopattes (oui, elles en ont plusieurs), mais je m'égare, revenons à nos moutons,  puis l'Europe, une Europe, actuellement réduite à  une entité bureaucratique et marchande (à son début , elle s'appelait bien moins hypocritement Marché commun).
Et puis quand on pense à Marseille, c'est irrémédiablement vers la Méditerranée qu'on la voit tournée.  

MuCEM, je le reconnais, c'est quand même plus joli que PACA. 
Peux-t'on imaginer que sous cet acronyme foireux :  PACA (ca) reposent la Provence et les Alpes et puis aussi la Côte d'azur, mais la Côte d'azur, un terme promotionnel là-aussi, [nous, on avait la Côte d'argent mais c'est un concept qui n'a pas tenu, pas assez dans les ors et le grand bleu, l'argent est gris, il fait penser à la pluie) je la conchie, avec tous ces grands oisifs venus exposer leurs bedaines suralimentées et promener leurs chi-ouah-ouahs au bord de la mer].

Méditerranées, je l'aurais appelé, le MuCEM;  il y a bien un musée, je crois qu'il est à Paris, qui s'appelle Le Louvre et on ne lui demande pas de quoi il s'occupe.
Pourquoi ne pas appeler un chat, un chat, une chatte, une chatte ?


Pas vrai, Mina ?
(t'es triste parce que je dis beaucoup de conneries ? ou tu réfléchis peut-être ?)

Bon, pas de blagues, le MuCEM, c'est un endroit à couper le souffle 
(surtout quand il y a du mistral).


MuCEM intra-muros 

Architecte : de αρχι - archi, chef - et de τεκτων - tekton, charpentier :

[c'est mon ami Hérodote, né à Halicarnasse, les pieds dans l'eau de la Méditerranée qui a employé pour la première fois le terme d'architecte.]

25 septembre 2013

Le peigne de l'eau


Eduardo Chillida avait son peigne du vent, moi plus modestement, j'ai mon peigne de l'eau.
Quelques dents sont ébréchées mais c'est bien suffisant pour ce que j'ai à coiffer.

20 avril 2013

Un coup d'Étretat

Tour de France par deux (vieux) enfants
(révision du Cours préparatoire : géographie)


Chou maritime - Falaises d'Étretat

Le chou paraît certainement indigène d'Europe; il est déjà mentionné en Grèce par Dioscoride, et Sibthoip l'y a retrouvé sauvage sur les rochers maritimes. M. Bosc dit qu'il croît sur les côtes de France; M. Bouchet l'a trouvé près d'Abheville, sur la falaise de Tréport, et j'ai aussi le souvenir d'en avoir vu quelques pieds épars sur les falaises de Normandie. On le trouve plus abondamment en Angleterre à Staiths, en Yorckshire, dans le pays de Galles, en Cornouailles, et autour de Douvres, où il est déjà indiqué par J. Gérard et Ray.
Cinq espèces de choux ont particulièrement fixé mon attention; savoir, les brassicaoleracea, campestris, rapa, napus et prœcox. Je vais les passer successivement en revue...

PREMIÈRE ESPÈCE. Brassica oleracea.
Première Race. Chou sauvage (br. oleracea).
Seconde Race. Chou-cavalier ( br. ceracea acephala ) il porte vulgairement, dans le midi de la France, le nom de caulet, qui a la même origine. 
Troisième Race. Chou cloqué (br. oleracea bullata).
Quatrième Race. Chou-cabu ou pommé(br. oleracea capitata).
 Le chou déprimé ou aplati (depressa)
Le chou sphérique (sphaerica) 
Le chou obové ou en œuf (obovata)
Le chou elliptique ou opale (elliptica)
Enfin le chou pain-de-sucre (conica)
Cinquième Race. Chou-rave (br. oleracea, caulorapa)
Sixième Race. Chou botrytis (hr. oleracea botrytis)


Caulet - Chou cavalier adolescent-Avril 2013
Bon  pour la garbure, le Caldo verde portugais ou pour donner aux poules.

DEUXIÈME ESPECE. Brassica campestris.
Première Race. Chou oléifère ( br. campestris oleifera, ou colza).
Deuxième Race. Chou à faucher (br. campestris pabularia).
Troisième Race. Chou-navet (br. campestris napo-brassica).
dont Le vrai chou-navet (napo-brassica communis) et le rutabaga (napo-brassicarutabaga), ou chou de Laponie , chou de Suède. Attention, (c'est moi qui souligne,) Il faut prendre garde de ne pas confondre, dans diverses langues, le chou-navet en un seul mot et le chou navet en deux mots : le premier est le brassica. campestris napo-brassica, que je viens de mentionner ; le second est le brassica napus, dont je parlerai plus bas.
TROISIEME ESPÈCE. Brassica rapa.
Première Race. Rave aplatie (br. rapadepressa).
Deuxième Race. Rave oblongue (br. râpa oblonga ).
Troisième Race. Rave sauvage ou ravette (br. râpa oleiiera).
QUATRIÈME ESPÈCE. Brassica napus.
Première Race. Navet oléifère ou navett* (br, napus oleifera).
Deuxième Race. Navet comestible (br. napus esculenta).
CINQUIÈME ESPÈCE. Brassica praeçox.

Extraits du Mémoire sur les différentes espèces, races et variétés de choux et de raiforts cultivés en Europe
Augustin Pyramus de Candolle 1778-1841- Genève

Nous verrons les raiforts et les espèces analogues une autre fois. Inutile de se prendre le chou si vous ne vous rappelez pas de tout, le mémoire ici.

Penser à relire La Soupe aux choux de René Fallet  

18 avril 2013

Somme toute

En avant ... !


Le Baie de Somme (le bien nommé) - Saint-Valery-sur-Somme


Baie de Somme au levant vue du Crotoy


Baie de Somme entre Saint Valery et Le Crotoy


Baie de Somme au couchant vue du Crotoy

[Une imagerie bien carte-postalienne ! 
Je m'en tamponne le coquillard, ça me plait à moi, c'est le principal.]


La Sardine 9 Rue de la Ferté - 80230 Saint-Valery-sur-Somme

Le grand air, ça creuse et quoi de mieux qu'une petite boite de sardines pour une grosse faim.
[Etel a fait chauffer la carte bleue à la Sardine, depuis je mange des salicornes* à tous les repas, je me sens tout algangui.]

* La salicorne :  passe-pierre, haricot de mer, corne salée ou cornichon de mer ...

31 mars 2013

Soleil, soleil

Mais qu'est-ce que vous venez foutre par ici ? on se pèle ! s'est exclamé effaré un charmant jeune homme sur les cinq heures de la tarde tandis que nous contemplions l’hôtel de  Bourgtheroulde, (hôtel comme un hôtel d'hostellerie) ancien hôtel particulier (comme un hôtel particulier) du XVIème à Rouen dans lequel il nous a indiqué loger - et où il avait dû certainement, à bisto de mon éthylomètre perso,  se faire servir une légère collation arrosée de calva pour lutter contre le froid -  après qu'il a pu déterminer à notre léger accent , lait comme fait,  aprés pour après, Niortt' pour Nior(t)... que nous venions de plus bas.
Et aussi, commerçants, cafetiers et hôteliers qui, nous prenant pour des êtres étranges,  nous ont salué constamment d'un "merci, au revoir et bon retour" alors que nous partions et montions.


Fred - La baleine galère - Philémon et Monsieur Barthélémy
©FRED/DARGAUD EDITEUR

Fred = Frédéric Othon Théodore Aristidès (un beau nom)

[ Deux soleils, ce n'est pas de trop après un petit voyage au Nord de la Loire, brrrr ! ] 

Un peu faux-cul tout de même venant d'un pourfendeur (pour les autres) de l'héliotropisme et du thalassotropisme - qu'est-ce que l'héliotropisme et  le thalassotropisme ?  il s'agit de l'attirance degueltienne, (de François Deguelt,  un philosophe du petit Vingtième un peu oublié) conjuguée, des humanoïdes con-temporains pour le soleil et la mer : ♫ Il y a le ciel, (non ça, c'est encore pour tout le monde) le soleil (hélios) et la mer (thalassa)...

Bienvenue en terre pionnière, portes ouvertes au pays des emplois d'à venir :  CDI de castreurs de maïs ou de ramasseur d'asperges, (possibilité d'annualiser le temps de travail, ça laisse des vacances) opportunités d'auto-entreprises de  polisseur de galets des Gaves réunis, lustreur de moules à touristes, (de bouchot  les moules, hein, pas d'équivoque !),  tamiseur de sable fin du littoral landais, surveillant de serviettes de plage,  suceur-testeur de pastilles à la sève de pin, brosseur  de sandales de Mauléon, tireur de pousse-pousse (non ce n'est pas incompatible)  pour transporter les grands oisifs fatigués ou les retraités nantis.

En résumé,  une bonne partie de  l'Europe (en attendant les russes, les chinois et les indiens) afin de  bénéficier des vertus du soleil et de la mer, compte s'établir sur une bande de 35 kms de large,  (merde, je suis dedans mais tant pis, j'aime beaucoup Labouheyre, voir plus bas)  du Cap-Ferret à Hendaye.

Au programme : 
 promenade quotidienne sur le front de mer, (quelle magnifique région ! la chance qu'on a !  hein maman qu'on a fait le bon choix ? tiens je vais passer un coup de fil à Frédé pour lui dire qu'ici, il fait vingt, ça va le faire râler, j'ai vu à la météo qu’il faisait zéro à Wazemmes)
 crotte du chien : tartinage gourmand des trottoirs , amendement des pelouses à 100 %  de matière grasse;
 on rentre à son tour se faire chier à la maison regarder John-Peter Pernod à la télé. (la mer, ça va un moment, c'est que de l'eau en mouvement sauf quand elle est calme.)
Afin de laisser place nette pour nos amis aisés, les indigènes seront déplacés à l'intérieur des terres, regroupés au camp de réfugiés "La nouvelle Palestine sous les Pins" à Labouheyre où ils pourront exercer en back-office la plupart des activités sus-citées. Un numerus clausus sera accordé aux natives pour les emplois domestiques.

Même topo de l'autre côté, sur la Méditerranée, de Perpignan à Monaco, avec regroupement des indigènes d'Oc à Tulle (il y a de la place et ça  fera de la compagnie à Fafa, il en a besoin).

01 mars 2013

Sans parole

(les amis de la Piscine)


Deauville, le bateau du Havre à Trouville-1913
Kees Van Dongen 1877-1968

(C) Musée La Piscine (Roubaix), Dist. RMN-Grand Palais - @Arnaud Loubry

22 février 2013

L'Adour en crue

L’Adour en crue, qui l'eût crue?

La route Arnaudin à Saint Vincent de Paul sous les eaux
Chplaouch ! Chplaouch ! (mon plaisir depuis toujours)
Foin !


En Gascogne et au Pays basque
on appelle barthe (du gascon barta), barthes, les plaines alluviales inondables longeant les cours d'eau.


Echelle des grandes eaux - Dax

L'Adour déborde depuis que je la connais et elle débordait sans aucun doute avant mais c'est bien la première fois que je la vois faire l'ouverture du 20 heures, sensationnalisme à la petite semaine, boniment gourmand du Pouyadas de service se délectant de la  catastrophe annoncée, vigilance! alerte! orange ! et tout le toutim pour une crue somme toute bien ordinaire. 


L'Adour en crue vue du Vieux pont à Dax

[Que d'eau! que d'eau!, (Raymond) aurait dit Mac Mahon au vu des terribles inondations de la Garonne  en juin 1875]


Partie de la capitainerie garde costes de Bayonne -1690

L'Adour a toujours débordé, moins il me semble depuis le réchauffement, [cigognes, cormorans, hérons pique-bœuf la fréquentent désormais (en attendant les ibis sacrés et les flamants roses)]. Elle a son petit caractère, a  souvent fait sa capricieuse, changeant d'embouchure (de là, mal embouchée) au gré de ses humeurs.

La route Arnaudin à Saint Vincent de Paul sous les eaux
Chplaouch ! Chplaouch ! (et aussi l'été, pieds nus en remontant les ruisseaux)
Paille !

[pour faire marcher au pas les conscrits venus de la campagne ne distinguant pas la droite de la gauche, on fourrait leurs croquenots gauches de foin et les droites de paille. L'instructeur n'avait plus alors qu'à entonner : foin ! paille ! pour un joli pas cadencé
- Quel rapport avec la crue ? - Aucun, ce sont les bottes qui m'y ont fait penser.]

L'Adour en crue : l'eusse-tu crue ?