L'Allier en trait bleu |
Qu'est ce qui peut bien pousser le saumon et la saumone à frayer dans le Massif central ?
Si vous étiez le géranium en pot sur la fenêtre, voudriez vous avoir plus de fleurs? plus de feuilles? Attends poulet, laisse-moi réfléchir!
Gloria Friedmann Le locataire |
Chez les domestiques du Château |
Vincent Bioulès - Fenêtre |
Kôichi Kurita - Terres de Loire |
Nymphéa tétragonal (pas sûr à 100%,me dit Plantanet) et sa grenouille |
Azulejo égaré |
Emile Zola ― Opera omnia (Toute l’œuvre) (Décrets des 19 septembre 1884, 25 janvier 1895, 27 août 1896, 1° septembre 1898).
Emile Zola (1840-1902). Fils d'un ingénieur italien, né à Paris. Il entra en 1864 à la maison Hachette et prenant comme modèles Musset, Flaubert et Taine, il s'essaya à écrire et ne tarda pas à devenir le plus célèbre des romanciers naturalistes. Ses œuvres sont tellement ignobles que ses admirateurs eux-mêmes et des critiques fort peu moralisateurs ont exprimé en termes énergiques leur écœurement. Il n'est pas superflu de citer quelques témoignages. En voici :
Emile Zola songeur |
L'abbé Bethléem lacérant des journaux licencieux à Paris à la fin des années 1920 |
L'épinoche et ses 10 klms-heure pépère |
Encore plus fort : l'espadon voilier Ce poisson peut atteindre 110 km/h, soit 30 mètres par seconde |
Allemagne - Saxe - Sur la route de Leipzig. Raymond Depardon |
TOURISTE [tou-ri-st'] s. m. et f.
Se dit des voyageurs qui ne parcourent des pays étrangers que par curiosité et désœuvrement, qui font une espèce de tournée dans des pays habituellement visités par leurs compatriotes.
Se dit surtout des voyageurs anglais en France, en Suisse et en Italie.
ÉTYMOLOGIE
Angl. tourist, de tour, voyage, qui est le français tour.Tourisme - Gus Bofa - 1926 |
E ora avete capito, miei piccoli lettori, qual era il bel mestiere che faceva l'omino? Questo brutto mostriciattolo, che aveva la fisonomia tutta di latte e miele, andava di tanto in tanto con un carro a girare per il mondo; strada facendo raccoglieva con promesse e con moine tutti i ragazzi svogliati, che avevano a noia i libri e le scuole; e dopo averli caricati sul suo carro, gli conduceva nel «Paese dei balocchi» perchè passassero tutto il loro tempo in giuochi, in chiassate e in divertimenti. Quando poi quei poveri ragazzi illusi, a furia di baloccarsi sempre e di non studiar mai, diventavano tanti ciuchini, allora tutto allegro e contento s'impadroniva di loro e li portava a vendere sulle fiere e su i mercati. E così in pochi anni aveva fatto fior di quattrini ed era diventato milionario.
Salvador Bartolozzi - Pinocchio Paso a los profundos hornos Passage des hauts-fourneaux |
Ange Perez - Alice - Pessac |