16 août 2011

Vers l'Océan


Signalisation maritime 
Vielle-St-Girons



6 commentaires:

  1. C'est marrant, pour moi St Girons est en Ariège.

    RépondreSupprimer
  2. Bé oui, il y a plus d'un Saint-Girons qui s'appelle Martin.

    RépondreSupprimer
  3. Je tombe avec un brin de retard sur ton blog et ledit article par le pur hasard gogolien, grace au Pacha de Mogador.
    Je tiens à préciser que ce St Girons est le pays des coco(sates) et des gargoles.
    Pour le Pacha,j'ai croisé récemment un historien de la Société de Borda à la recherche de pistes sur la vie dacquoise et antérieure de cet exilé.
    Les miennes sont minces et se limitent à la dangereuse escalade du mur mitoyen de la Sup, à la recherche de nos ballons égarés.
    Suis contemporain des Abdel OEM et Stéphane H mais dans une 6e moins classique!
    Si tu as des tuyaux pour faire avancer la science locale et l'histoire des tarbelles, suis preneur et , parole de landès, tes droits d'auteur seront justement préservés!
    Pour la nostalgie, rdv sur le site des anciens:.... borda-anciens.org/
    Adiou gouyat!

    RépondreSupprimer
  4. Cher Trufandé (moqueur! plaisant! railleur?)
    (Bernard S. à la contrebasse ?)

    Je n'ai pas pas plus de connaissance que toi sur l'histoire du pacha de Mogador sauf que j'ai été quelques fois chez Abdel mais il habitait alors en ville dans un appart près des Nouvelles Galeries. J'ai le même souvenir du ballon "au Pacha" mais ayant le vertige, je ne me suis jamais risqué à escalader le mur (ça me faisait rêver, pourtant).

    J'ai été par ailleurs sur Anciens de Borda (merci pour le lien) où j' ai eu le plaisir de me retrouver en classe de Sixième Classique B (on n'avait pas toujours, à la maison, les trois sous pour acheter la photo) à côté de Barbe (un cocosate de  Saint-Girons) et Pacull, un catalan égaré, avec son professeur principal, le charmant M. Grégoire et sa non moins aimable épouse "Miss Gogo".
    J'ai revu avec plaisir M. Chasseriaud qui nous avait pris un soir tous les trois (les trois internes de la classe)  pour regarder les astres dans sa lunette astronomique. Le souvenir aussi, moins agréable d'avoir été à son enterrement (mon premier enterrement, je crois).

    Et puis le vélodrome et ses tribunes trouées, le prof de gym M. Mazoin qui mettait des baffes quand on coupait le fromage, la salle de catéchisme un peu excentrée où un jeune curé musclé en soutane (je ne sais plus son nom)  nous faisait venir à côté de lui quand on s'était fait remarquer et tout en continuant sa péroraison, au moment où l'on s'était détendu, espérant être sauvé par le gong, nous envoyait un cuisant aller-retour (les gifles volaient dru, à l'époque).
    L'assassinat de Kennedy appris devant chez la "Pips".
    Les olives et le beurre en guise de hors-d'oeuvre au réfectoire.
    L'édredon que l'on devait amener si l'on ne voulait pas se cailler. (je crois que c'était obligatoire)
    La toilette en tricot de peau au dortoir, en se pelant,  à l'aide de la trousse achetée par ma grand-mère à Dax-Bonheur pour mon entrée en 6°.
    La sortie aux Bains-douches près de l’hôpital le mercredi où "Cacahuète" nous attendait avec ses carambars pour les plus fortunés d'entre nous.
    Et puis l'étrange M. Ménié qui tenait pendant les vacances "Les petits Lanots" à Boulogne, où je pouvais boire ma boisson préférée : le coco (autrement dit l'anthésite).
    Souvenirs, souvenirs!

    [Pour les Cocosates et les Tarbelles, je cherche dans les archives familiales s'ils n'ont pas laissé quelques traces mais je n'ai rien trouvé pour l'instant. Je te tiendrai informé.]

    Adiou amic!
    Au rebède!

    RépondreSupprimer
  5. Trufandé, mot gascon aux définitions variables, mais farceur, railleur, moqueur, voire licencieux, lui collent bien.Ma grand-mère me lançait de savoureux "ô tuuuuu trufandéééé!!"
    Ce mot expressif pourrait fort bien qualifier ton blog, tu l'avais compris!
    J'étais en terminale avec B.S, le king of the contrebasse, qui, là, était en retard d'au moins deux mesures(voir photo de 67, suis premier à gauche du premier rang assis, mais dernier de la classe et sans le moindre effort!).
    Jean-Louis Pacull est un journaliste sportif du côté de Marseille, correspondant d'une radio périphérique et gogol te permettra de retrouver, totalement et savoureusement, le personnage biterrois.
    Il y a quelques mois, j'ai raconté l'histoire de la lunette de M.Chassériaud suite à une conférence, "Chez nous à Dax", sur la découverte mondiale (si!) de l'astéroïde de Borda par l'observatoire local.Cette lunette végéta par la suite, orpheline dans un local annexe de la salle de physique du nouveau lycée.J'avais même émis l'idée (j'en avais parfois...)de la création d'un club d'astronomie amateur, mais mixte, et les autorités crurent à un alibi pour passer les nuits à la belle étoile!
    Pour le catoch, derrière l'ancien fronton de Cuyés, l'abbé Rénier en maître, mais le vieux Cacahuète se voyait délesté de quelques friandises une fois sa lampe électrique éteinte par nos soins.
    Le comble ou mauvais humour dacquois, demeure l'eau froide seule à tous les étages de l'internat alors que la chaude thermale coulait gratuitement à chaque coin de rue.
    J'avais oublié ce nom de Pips mais pas celui des trois ou quatre fayots qui avaient droit de cité dans sa loge, quand nous nous les caillions dans la cour.
    Bon, arrêtons les souvenirs d'anciens combattants.
    A+

    RépondreSupprimer
  6. Merci Trufandé pour tous ces souvenirs (Rénier! les fayots! la lunette!).
    Bé oui que je te connais et pas mal de ceux de ta classe.
    J'ai été voir Pacull sur youtioube, j'ai l'impression qu'il a vieilli.
    Ancien combattant! Ancien combattant! fais gaffe! tu sais que tu parles à un vétéran qui a passé de 61 à 1970 à Borda (4 ans pour pour faire troisième et seconde).

    Reviens quand tu veux! Passe à l'ombre!

    RépondreSupprimer