18 juin 2011

Riau Riau

À Pampelune, Pamplona, Iruña,  Iruñea
[ Il est souvent arrivé que certains trouvent le chemin long pour arriver à Irun car pensant se  diriger sur Irun, ils allaient à Iruña, (les panneaux sont en basque), autrement dit Pampelune (de Pompaelo, Pompée, qui lui aurait donné son nom) ]

Le Riau Riau et les Vísperas

"Cette cérémonie officielle a eu lieu jusqu’en 1991, et est actuellement remise au goût du jour par des associations (après une tentative officielle de renouvellement en 1996, sans lendemain). Traditionnellement, le 6 juillet à 16h30, les autorités municipales et ecclésiastiques de la ville, se rendaient depuis la Mairie jusqu’à l’Église de San Lorenzo, à quelques centaines de mètres, pour y célébrer las Vísperas, la messe en l’honneur du saint patron, la veille de sa fête. Peu à peu, le jeu a consisté pour les jeunes Pamplonais à ralentir le cortège en se plaçant devant lui. Ainsi, des milliers de personnes se retrouvaient chaque année dans la Calle Mayor et freinaient le parcours des autorités. Le parcours se déroulait au son du Vals de Astrain, une valse, renommée Riau Riau, reprise en chœur par la foule, et interprétée sans discontinuer jusqu'à destination. Las, les manifestations politiques et les débordements agressifs qui s’ensuivaient ont entraîné la suspension de ce moment clé des Fêtes..." la suite sur Wiki


Le café Iruna,
 l'une des principales stations d'Ernest Hemingway à Pampelune


Avons remonté, le mollet fier [(bien que fatigué par une marche forçée la veille de six heures (merci de tout coeur Momo!) par des chemins de contrebande, en partant d' Arnéguy (près Venta Peio)] et le torse bombé tout l'Encierro, [ le trajet (825 mètres à Pampelune) des taureaux des corrales (enclos) aux arènes] avant de faire la génuflexion devant la statue (accoudée au comptoir) d'Ernest Hemingway, au café Iruna et de boire à sa santé un blanc verdejo de Rueda.


Ci-dessus à gauche, un Pampelunien/Pamplonés/Iruindar s'y étant pris à l'avance pour la San Fermín, (6 al 14 de julio) s'en tenant une bonne de bonne heure [(Pour qui sonne l'Anis Gras; (un cousin de l'Anís del Mono) Mort dans l'après-midi)] et qui nous a révélé qu'un marchand de churros de la rue d'à côté, un salopard de fasciste, nous a-t-il dit, me ressemblait comme deux gouttes d'eau (ça fait toujours plaisir) sauf que lui portait une casquette en cuir. Nous avons été vérifier mais le lâche ( En avoir ou pas ) avait fermé ses portes jusqu'à las cuatro de la tarde.

et aussi d'Ernest Hemingway :

Les fesses qui me démangent trop (rendu sonotone)
L'adieu aux larmes (Au revoir tristesse)
Le vieil homme et l'Amer (Picon de préférence) et :

Pampelune est une fête.

2 commentaires:

  1. Et le lendemain matin, le glas sonnait sous le béret ?

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  2. Peut-être pas le glas mais sûrement le tocsin, pour une tempête sous un crâne, Ô misèrable !

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