31 août 2007

Mots d'heures: gousses, rames

Mots d'heures: gousses rames /Mother goose rhymes

Le manuscrit de d'Antin
Je pense que j'avais environ 15 ans quand un ami de famille m'a allumé au d'Antin Van Rooten's de Luis extrêmement intelligent et 1967 hilares réservent des d'Heures de Mots : Gousses, manuscrit de d'Antin de Rames-The. La vanité du livre est que c'est une version annotée d'une collection obscure de vers français médiéval. Mais c'est réellement une traduction homophonic des rimes d'oie de mère d'anglais-français. Ce que ce signifie est ce Van Rooten a traduit les bruits des mots, pas les mots eux-mêmes. Les versions « françaises » résultantes se comprennent seulement en tant qu'anglais Français-accentué. Ainsi « les rimes d'oie de mère » devient des « d'Heures de Mots : Gousses, Rames » ; « Jack et Jill » devient « Chacun Gille » ; et « Peter, Peter, mangeur de potiron » devient « Pis-terre, terre n'y de qui de Pis-terre/Pomme. » Mots français d'utilisation des « traductions » de D'Antin les vrais mais sont tout à fait absurdes en français. Vous ne devez pas comprendre le français réel pour lire les rimes des d'Antin ; vous le besoin juste qu'une prise assez bonne de prononciation française règne et une capacité de rappeler l'oie de mère. D'Antin raffiné, les annotations figées, dans lesquelles il prétend extraire la signification à partir du Français incohérent, sont de grandes parodies de pretentiousness d'universitaire. Les annotations amusent même si vous ne savez pas le français (je pas, pas vraiment), et je suis sûr qu'ils sont encore plus drôles si vous.

Traduction par Google de la page originale: The d'Antin Manuscript sur le site Panopticist.

"Jack and Jill"

Chacun Gille
Houer ne taupe de hile
Tôt-fait, j'appelle au boiteur
Chaque fêle dans un broc, est-ce crosne?
Un Gille qu'aime tant berline à fêtard.

Mother goose rhymes (Viking, 1967).